pffffff
Ca peut être utile,
C’est peut-être futile
Elles s’acharnent.
Mais pourquoi tant de haine ?
“Anyway
I’m leaving your school,
Your country,
Your connerie,
Yes Mam! N’y foutrai plus jamais les pieds.
Alors laissez-moi travailler
Cessez de m’insulter
Evitez par pitié de vouloir m’aider…
Vous ne connaissez rien à notre métier,
Rien au français,
Vous tapez toujours à côté… »
Me convoquer encore et encore pour une réunion de crise
A hauts risques pour le cas Brendon-Naima
Quand il s’agissait en fait de Kameron…
Puis réitérer pour Brendon-Jamyra
Quand on veut me parler en fait de Jaron.
Reparler du même évènement passé il y a trois mois, et ne même pas savoir ce qui a été réalisé depuis.
Comprennent rien, ne savent rien, se mêlent de tout et écoutent les ragots des mères non–informées.
Une mère mal-informée qui se plaint auprès d’une directrice qui l’est encore moins et qui prend des décisions à l’emporte-pièce, sans concertation ni réflexion, ni jugeote. Au secours… Crâne creux et méchanceté gratuite enveniment tout. C’est moi la faute incarnée. Le problème est qu’elle a perdu toute crédibilité. Je n’accorde plus aucun crédit à ce qu’elle dit, je me méfie. Car à postériori, je réalise souvent qu’elle a encore sorti d’énormes conneries.
Une personne qui n’a pas l’envergure de son poste, et qui cherche à asseoir une autorité à tout prix, et qui n'admet pas que je ne m'effondre en pleurs sous ses coups. Une personne complexée et qui cherche à prouver ce qu’elle ne sera jamais.. Et qui nous intime à tous, en grande réunion, d’être polies et respectueuses avec les autres, alors qu’elle ne l’est jamais au quotidien.
Le positif : dans un lieu sordide du chacun pour soi et du sauve-qui-peut à 3h30 pm, elle a tant poussé le bouchon, que des collégues s'en sont émus. Oui, oui, je vous assure. Ils offrent (sans que j'aie rien demander) de témoigner en ma faveur. Je n'en revenais pas. Même si ce sont des paroles et pas encore des actes... C'est déjà énorme...
Au moins, je fais un travail sur moi, j’apprends la maîtrise, le calme intérieur, je laisse le fiel couler et les attaques fuser. Ne pas riposter et les laisser dire, sans m’en affecter. Car comme dit Claude, « L’estime des cons, on n’en a rien à carrer. »
Il est plus que temps de m’en aller. Ne pas attendre l’âge trop mûr, après c’est l’âge pourri. On y est déjà.