Basket : Chicago contre New Orleans

Les Red Bull contre les White Pelicans

Le fils Noah... qui joue à Chicago

Ca joue tout du long sur des musiques très courtes et répétitives, toujours les quatre mêmes…   comme pour le football américain, le jeu ne dure jamais plus de 7 minutes.Très gonflant...

Pauses pub,  pauses interview, pauses serpillère-parquet de monsieur Propre, pauses vente de chips en sauce, pauses pom-pom-girls….. du coup quand la mi-temps arrive on ne sait plus ce que c’est…. Les gars de CHICAGO sont vraiment meilleurs, ne ratent aucun panier, et écrasent les Pélicans avec 30 points d’avance. Du coup les fans se barrent bien avant la fin… On est dans un lieu jouxtant le Superdôme. Le « Smoothie King » ne sert qu’au basket. C’est un cercle autour d’un terrain parqueté, et c’est le futur, un décor de film de Luc Besson. Des écrans digitaux partout, et puis c’est Les USA : l’hymne national chanté par tous (alors que ce sont deux équipes du pays…) et des hommages appuyés aux militaires sans arrêt : sur les écrans, à la mi-temps, un défilé sur le parquet (encore une similitude avec le 3^ème Reich) ;

On nous demande de bêler (par panneau, ou par micro) comme des moutons. Et c’est ce que tous font « SCREAM !!! »

Et toutes les trois minutes, les Pompom-poufs qui agitent le pompon et dandinent du croupion. Femmes objets. Femmes bidoche bien en chair à croquer des yeux et plus si affinités. Exhiber son derrière, ses cuisses et sa poitrine et prendre des pauses pour magazines virils, ultra sexués à la testostérone…Exhibe-toi et excite-les. J’ai le même problème avec ces poufs au short raz-le-fruit-de-mer, qu’avec les musulmanes voilées. Dans les deux cas extrèmes, elles se font remarquer pour plaire aux mecs... et n’ont pas l’air de se poser beaucoup de questions…